vespĕr, ĕrī et ĕris, m. (ἕσπερος),
¶ 1 le soir : diei vesper erat
Sall. J. 52, 3,
c'était le soir ; ad vesperum
Cæs. G. 1, 26, 2,
jusqu'au soir, cf.
Cæs. G. 1, 50, 2 ;
2, 33, 1, etc. [ou vers le soir :
Cic. Læl. 12] ; sub vesperum
Cæs. G. 2, 33,
vers le soir, cf. G. 5, 58 ;
7, 60 ; C. 1, 42 ;
primo vespere
Cæs. C. 2, 43,
au début du soir, à la nuit tombante ||
vespereCic. Att. 11, 12, 1, [et surtout] vesperi
Cic. de Or. 2, 13 ;
Fam. 7, 3, 1 ;
Att. 13, 47~a, 1 ; Mil. 54,
le soir, au soir ||
quid vesper ferat incertum estLiv. 45, 8, 6,
ce qu'amène le soir, on l'ignore, cf.
Gell. 13, 11, 1 ;
de vesperi suo vivere
Pl. Mil. 995,
être son maître, vivre à sa guise ; de vesperi alicujus cenare
Pl. Rud. 181,
manger à la table de qqn
¶ 2 étoile du soir, Vesper :
Hor. O. 2, 9, 10 ;
3, 19, 26 ;
Virg. G. 1, 251 ;
Plin. 2, 36
||
le couchant, l'occident :Virg. En. 5, 19 ;
Ov. Tr. 1, 2, 28
||
peuples de l'Occident :Sil. 3, 325.
↣ dans la l. classique, acc. vesperum, abl. vespere ou loc. vesperi ||
au neutre d.Varro L. 7, 50 ;
9, 73.
vespere
quid vesper ferat incertum est
le couchant, l'occident :
peuples de l'Occident :
au neutre d.