tŏnĭtrŭs, ūs, m., Pl. Amph. 1062 ; Lucr. 6, 164 ; Virg. En. 4, 122, etc. ; et tŏnĭtrŭum, ī, n., tonnerre : tonitrua jactusque fulminum extimescere Cic. Div. 2, 42, craindre le tonnerre et le jet de la foudre, cf. Cic. Div. 2, 44 ; Phil. 5, 15 ; cum magno fragore tonitribusque Liv. 1, 16, 1, avec un grand fracas et des coups de tonnerre. ↣ tonitruus, ī, m. Hier. Joann. 10 ||
nom. tonitru d'après Char. 36, 1 ; 65, 30.