sĕpĕlĭō, pĕlīvī et pĕlĭī, pultum, īre, tr.,
¶ 1 ensevelir :
Cic. Tusc. 1, 103 ;
Leg. 2, 58 ;
Fl. 95 ;
Liv. 27, 42, 7
¶ 2 [fig.]
a) enterrer, faire disparaître : dolorem
Cic. Tusc. 2, 32,
ensevelir sa douleur ; salutem in æternum
Lucr. 2, 570,
ensevelir pour l'éternité l'existence des êtres ; sepultus sum
Ter. Phorm. 943,
je suis mort et enterré ;
b) sepultus somno vinoque
Virg. En. 2, 265,
enseveli dans le sommeil et le vin ; [en part.] custode sepulto
Virg. En. 6, 423,
le gardien étant endormi ; sepulta inertia
Hor. O. 4, 9, 29,
paresse endormie.
↣ pf. sepeli
Pers. 3, 97 ;
sepulivi CIL 3, 2326 ;
sync. sepelisset, sepelissent
Prop. 1, 17, 19 ;
Quint. 8, 5, 16
||
part. sepelitusCat. d.
Prisc. Gramm. p. 909.
part. sepelitus