rĕsīdō, sēdī, sessum, ĕre, intr.,

¶ 1 s'asseoir [en cessant un état de mouvt ou de station droite] : Cic. Fin. 3, 9 ||
s'arrêter [cesser de marcher, de voyager] : Cic. Leg. 1, 15 ; Plin. 10, 114 ; in villa Cic. Mil. 51, s'arrêter dans une villa (mediis ædibus Virg. En. 8, 467, au milieu de la maison, cf. Virg. En. 5, 702)

¶ 2 s'abaisser, s'affaisser :

a) [en parl. de montagnes] Cic. Pis. 82 ; [de flots] Virg. G. 2, 480 ; Plin. 5, 57 ; [de flammes] Tac. Ann. 13, 57 ; [de vents] Virg. En. 7, 27 ; Plin. Min. Ep. 6, 16, 12 ;

b) [fig.] se calmer : eorum mentes resederant Cæs. G. 7, 64, 7, leurs esprits s'étaient calmés : tumor animi resedit Cic. Tusc. 3, 26, le soulèvement du cœur s'est apaisé.