rĕclīnō, āvī, ātum, āre,

¶ 1 tr., pencher en arrière, incliner en arrière : huc se reclinare Cæs. G. 6, 27, 5, s'incliner (s'appuyer) là-dessus ; paulum reclinatæ Cæs. G. 6, 27, 3, légèrement inclinées en arrière ||
scuta Virg. En. 12, 130, déposer à terre les boucliers ; in gramine reclinatus Hor. O. 2, 3, 7, étendu sur le gazon ||
[fig.] in aliquem onus imperii reclinare Sen. Marc. 2, 3, faire reposer sur qqn le fardeau du pouvoir ; nullum a labore me reclinat otium Hor. Epo. 17, 24, aucun loisir ne me repose de ma peine

¶ 2 intr., se coucher : Fort. Rad. 5.