quĕō, īvī et ĭī, ĭtum, īre, pouvoir, être en état de, [employé surtout avec une nég.] : [avec inf.] barbari quidam ferro decertare acerrume possunt, ægrotare viriliter non queunt
Cic. Tusc. 2, 65,
des barbares peuvent se battre à outrance le fer à la main, et ils ne sont pas en état d'être malades virilement, cf.
Cic. Rep. 2, 6
||
queoCic. CM 32 ; non queo
Cic. Fam. 14, 1, 5 ;
non quis
Hor. S. 2, 7, 92 ;
non quit
Lucr. 3, 647, etc.;
queunt
Sall. J. 44, 5 ;
queam, queas, queat, queamus, queant, quibam, quibat ; quiret
Cic. Off. 3, 62 ;
quivit
Nep. Att. 19, 2 ;
quiverit
Tac. Ann. 1, 66 ;
quivere
Tac. H. 3, 25 ;
quiverunt
Sall. J. 58, 3 ;
quibo
Pl. Mil. 1240
||
[pass. avec inf. pass.] : forma nosci non quita estTer. Hec. 752,
les traits n'ont pu être reconnus, cf.
Pl. Pers. 194 ;
Lucr. 1, 1045.
↣ sync. quisse
Lucr. 5, 1422
||
part. prés. queens*Quint. 8, 3, 33 ;
quiens
Apul. M. 6, 5 ;
9, 40.
queo
[pass. avec inf. pass.] : forma nosci non quita est
part. prés. queens