portō, āvī, ātum, āre, tr.,
¶ 1 porter, transporter [à dos d'h., d'animaux, sur chariots, sur bateaux] :
Cæs. C. 1, 78, 1 ;
Cic. Par. 8 ;
Verr. 2, 3, 190 ;
Att. 14, 3, 1 ;
Q. 2, 8, 2 ;
Phil. 2, 58 ;
Verr. 2, 4, 103
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(signum) quod iste si portare potuisset, non dubitasset auferreCic. Verr. 2, 4, 119, (statue) que cet homme, s'il avait pu la transporter, n'aurait pas craint d'enlever ||
navis, quæ milites portaretCæs. G. 5, 23, 3,
un navire pour transporter les troupes
¶ 2 [fig.] au lieu de ferre :
a) auxilium portare
Sall. C. 6, 5,
porter des secours ; spes secum
Liv. 1, 34, 10,
porter avec soi des espérances ; ad aliquem nuntium
Liv. 45, 1, 10,
porter une nouvelle à qqn ; alicui aliquam fallaciam
Ter. Andr. 433,
servir à qqn qq. mauvais tour ;
b) nescio quid peccati portat hæc purgatio
Ter. Haut. 625,
cette disculpation transporte (annonce) qq. méfait inconnu.
(signum) quod iste si portare potuisset, non dubitasset auferre
navis, quæ milites portaret