plŭit, plŭit (arch. plūvit), ĕre.
I impers. intr.,
¶ 1 pleuvoir :
Cic. Nat. 2, 11
||
[avec abl.] sanguineCic. Div. 2, 58,
pleuvoir du sang, cf.
Liv. 21, 52, 5 ;
27, 11, 5, etc.
¶ 2 [avec acc. qualif. (leçon des mss)] : lapides pluit
Liv. 28, 27, 16,
il tombe une pluie de pierres, cf. 10, 31, 8 ;
35, 21, 3 ; 40, 19, 2.
II pers.
¶ 1 intr.,
a) nubes pluunt
Aug. Psalm. 134, 13,
les nuages se résolvent en pluie ; cælum pluit
Arn. 1, 9,
la pluie tombe du ciel ||
[pass.] pluiturApul. Flor. 2,
il pleut ;
b) effigies quæ pluit
Plin. 2, 147,
le corps qui tomba du ciel ||
[fig.] tomber comme la pluie : non tantum pluit glandisVirg. G. 4, 81,
il pleut moins de glands [du chêne], cf.
Stat. S. 1, 6, 10
¶ 2 tr., faire pleuvoir : fundæ saxa pluunt
Stat. Th. 8, 416,
les frondes font pleuvoir des pierres.
↣ pf. pluxit d. Pl. ;
Liv. 1, 31, 1
||
sur pluit v.Varro L. 9, 104.
[avec abl.] sanguine
[pass.] pluitur
[fig.] tomber comme la pluie : non tantum pluit glandis
sur pluit v.