pallĕō, ŭī, ēre, intr. et tr.
I intr.,
¶ 1 être pâle :
Cic. Phil. 2, 84
||
timoreOv. F. 2, 468,
être pâle d'effroi
¶ 2 être pâle [de souci, d'ambition, etc.] :
Hor. S. 2, 3, 78
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[d'effort au travail]Quint. 7, 10, 14 ;
Juv. 7, 96
¶ 3 être pâle de crainte, pâlir : pueris
Hor. Ep. 1, 7, 7,
pâlir (trembler) pour ses enfants ; ad omnia fulgura
Juv. 13, 223,
pâlir à chaque éclair
¶ 4 se décolorer, se ternir :
Ov. F. 1, 688
¶ 5 prendre une teinte pâle : saxum palluit auro
Ov. M. 11, 110,
la pierre prit la teinte pâle de l'or, cf.
Mart. 8, 44, 10.
II tr.,
¶ 1 pâlir sur qqch., étudier avec effort :
Pers. 1, 124
¶ 2 pâlir devant, craindre :
Hor. O. 3, 27, 28
¶ 3 [acc. de qualif.] : multos pallere colores
Prop. 1, 15, 39,
se décolorer en maintes couleurs, changer de couleur plusieurs fois.
timore
[d'effort au travail]