ŏlĕum, ī, n. (ἔλαιον), huile d'olive, huile [en gén.] :
Cato Agr. 65 ;
Varro R. 1, 55 ;
Virg. En. 5, 135
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[prov.] oleo tranquilliorPl. Pœn. 1236,
plus doux qu'un agneau ; oleum et operam perdere
Pl. Pœn. 332 ;
Cic. Fam. 7, 1, 3,
perdre son temps et sa peine, cf.
Cic. Att. 2, 17, 1 ;
oleum addere camino
Hor. S. 2, 3, 321,
verser de l'huile sur le feu ||
[fig., en parl. de l'huile dont se frottaient les athlètes] decus oleiCatul. 63, 65,
la gloire de la palestre ; verba palæstræ magis et olei
Cic. de Or. 1, 81,
expressions qui sentent plutôt l'école et la parade.
[prov.] oleo tranquillior
[fig., en parl. de l'huile dont se frottaient les athlètes] decus olei