ōdī, ōdisse, p. fut. ōsūrus, tr., haïr : aliquem
Cic. Mil. 35,
haïr qqn ||
[abst] ita amare oportere ut si aliquando esset osurusCic. Læl. 59, [il disait] qu'on devait aimer comme si l'on était pour haïr un jour, cf.
Cic. Læl. 65, etc.
||
[avec inf.] haïr de faire qqch. :Pl. Amph. 900 ;
Hor. Ep. 1, 16, 52 ;
dum servire pejus odero malis omnibus aliis Brut. d.
Cic. ad Br. 1, 16, 6,
tant que la servitude me sera plus odieuse que tous les autres maux ||
[fig.] ruta odit hiememPlin. 19, 156,
la rue déteste (redoute) l'hiver.
↣ sur odio, odire v. Fest. 201 ;
Char. 257, 16 ;
257, 21 ;
Tert. Marc. 4, 16 ;
4, 35, etc.
||
pf odivitAnt. d.
Cic. Phil. 13, 42
||
pf dépon. osus sumGracch. d.
Fest. 201, 18 ;
Pl. Amph. 900 ;
Sen. Rhet. Suas. 1, 5 ;
Gell. 1, 3, 30.
[abst] ita amare oportere ut si aliquando esset osurus
[avec inf.] haïr de faire qqch. :
[fig.] ruta odit hiemem
pf odivit
pf dépon. osus sum