obsĕquor, cūtus (quūtus) sum, sĕquī, intr., avec dat.,
¶ 1 céder (déférer) aux volontés (aux désirs) de, condescendre, avoir de la complaisance pour : alicui
Cic. Clu. 149
ou voluntati alicujus
Cic. Fin. 2, 17,
se plier aux désirs de qqn, faire la volonté de qqn ; tempestati
Cic. Fam. 1, 9, 21,
céder à la tempête ; fortunæ Cæs. d.
Cic. Att. 10, 8, 1,
se prêter à la fortune ; animo
Pl. Mil. 677,
satisfaire ses désirs ||
[avec acc. de rel.] : id gnatoPl. As. 76,
céder en cela à son fils, cf.
Gell. 2, 7, 12
||
[avec ut] : neque uti de M.~Popilio referrent senatui obsequebanturLiv. 42, 21, 1,
et, sur la question de mettre à l'ordre du jour l'affaire de M.~Popilius, ils ne déféraient pas aux désirs du sénat
¶ 2 [fig.] æs malleis obsequitur
Plin. 34, 94,
l'airain se plie à la volonté du marteau, est malléable ; caput manibus obsequatur
Quint. 11, 3, 70
que la tête suive le mouvement des mains.
↣ pass. impers.
*Pl. As. 77.
[avec acc. de rel.] : id gnato
[avec ut] : neque uti de M.~Popilio referrent senatui obsequebantur