obrŏgō, āvī, ātum, āre, intr., présenter une loi qui en détruit une autre : huic legi nec abrogari fas est nec... Cic. Rep. 3, 33, à cette loi c'est un crime de substituer une loi contraire, cf. Att. 3, 23, 3 ; Phil. 1, 23 ; semper antiquæ (legi) obrogat nova Liv. 9, 34, 7 (quand deux lois sont en opposition) c'est toujours l'ancienne qui est abrogée par la nouvelle ||
s'opposer [à une loi] : Flor. 3, 15, 4.