nūbō, nūpsī, nŭptum, ĕre,
¶ 1 tr., couvrir, voiler :
Don. Hec. 656 ;
Arn. 3, 118
¶ 2 intr., se voiler [en parl. de la femme], alicui, épouser qqn [littt, prendre le voile (flammeum) à l'intention de qqn] :
Cic. Div. 1, 104 ;
Nat. 3, 59 ;
Clu. 14 ;
21 ;
Juv. 6, 141 ;
in familiam clarissimam
Cic. Cæl. 34,
prendre un mari dans une très illustre famille ; collocare propinquas suas nuptum in alias civitates
Cæs. G. 1, 18, 7,
donner ses proches en mariage dans d'autres cités ||
nupta cum aliquoPl. Amph. 99 ;
Cic. Fam. 15, 3, 1 ;
Top. 20,
unie à qqn par le mariage ||
se marier [en parl. de l'homme] :Tert. Ux. 1, 7 ; [par dérision] uxori nubere nolo meæ
Mart. 8, 12, 2,
je ne veux pas être la femme de ma femme ||
[en parl. du vice contre nature]Juv. 2, 134
||
[en parl. des plantes] se marier à [av. dat.] :Plin. 14, 10
¶ 3 tr. et pass. [décad.], épouser, être épousé :
Vulg. Matth. 22, 30.
nupta cum aliquo
se marier [en parl. de l'homme] :
[en parl. du vice contre nature]
[en parl. des plantes] se marier à [av. dat.] :