nāvis, is (acc. sing. habituellement navem ; qqf. navim Cic. Att. 7, 22, 1 ; Sall. J. 25, 5 ; Hor. Ep. 2, 1, 114 ; abl. navī Cic. de Or. 3, 159 et souvent, mais aussi nave Cic. Fam. 10, 31, 1 ; Cæs. C. 2, 32, 12), f. (ναῦς), navire, bâtiment : auri navis Cic. Par. 20, navire chargé (un chargement) d'or ; navem deducere Cæs. G. 5, 23, 2, mettre un navire à la mer ; subducere Cæs. G. 5, 11, 5, mettre un vaisseau à sec sur le rivage ; solvere Cæs. G. 3, 6, mettre à la voile ; navem appellere ad Cic. Att. 13, 21, 3, faire aborder à ; naves applicare terræ Liv. 28, 17, 13, aborder ; navis longa, oneraria Cæs. G. 3, 9, 1 ; G. 4, 22, 3, vaisseau de guerre, vaisseau de transport ; constrata Cic. Verr. 2, 5, 89, vaisseau ponté ; aperta Cic. Verr. 2, 5, 104, vaisseau découvert ; v. conscendere, egredi, exponere ; navem facere Cic. Verr. 2, 4, 19 ; ædificare Verr. 2, 4, 18, construire un navire ||
[prov.] navibus et quadrigis Hor. Ep. 1, 11, 28, par tous les moyens, de toutes ses forces ||
[fig.] reipublicæ Cic. Sest. 46, le vaisseau de l'État ||
Navis, ou Navis Argolica le Navire des Argonautes [constellation antique de grande envergure, divisée, depuis, en trois constallations plus petites : la Carène, la Poupe et les Voiles] : Cic. Arat. 34, 277.