mŏrĭor, mortŭus sum, mŏrī,

¶ 1 mourir : fame Cic. Att. 6, 1, 6, mourir de faim ; a latronibus, cruditate Cic. Fam. 15, 17, 2, mourir sous les coups des voleurs, d'une indigestion ; moriuntur non alter ab altero, sed uterque a patre Sen. Rhet. Contr. 5, 3, ils sont morts non pas sous les coups l'un de l'autre, mais tous les deux sous les coups de leur père ; in aliqua re Cic. CM 49, se consumer dans une chose ||
moriar si Cic. Att. 8, 6, 4, que je meure si ; potius mori miliens quam Cic. Att. 7, 11, 1, mourir mille fois plutôt que

¶ 2 [en parl. des plantes] Plin. 28, 78 ; [du jour] Pl. Men. 155 ; [des verges qui se brisent sur le dos du patient] Pl. Capt. 650 ||
[du souvenir de qqn] Cic. Pis. 93 ; [des muscles] Cic. CM 27 ; [de lois] Cic. Verr. 2, 5, 45, v. mortuus ||
part. fut. moriturus. ↣ formes de la 4e~conj. : inf. moriri Pl. Capt. 732 ; Ps. 1222 ; Rud. 675 ; Ov. M. 14, 215 ; morīmur Enn. Ann. 392.