2 mĭnŏr, ŭs, ōris, comp. de parvus, plus petit, moindre [pr. et fig.] v. parvus : quod in re majore valet, valeat in minore
Cic. Top. 23,
qui prouve le plus prouve le moins ; minor capitis
Hor. O. 3, 5, 42 = capite deminutus, déchu de ses droits de citoyen ||
aliquot annis minor natuCic. Ac. 2, 61,
plus jeune d'un certain nombre d'années ; filia minor regis
Cæs. C. 3, 112, 10,
la plus jeune des deux filles du roi ; minor triginta annis natus
Cic. Verr. 2, 2, 122,
âgé de moins de trente ans : minor annis sexaginta
Cic. Amer. 100,
âgé de moins de soixante ans ||
minoresCic. Br. 232,
les plus jeunes [d'une génération] ; [poét.] les descendants :
Virg. En. 1, 532
||
[avec inf. poét.] : tanto certare minorHor. S. 2, 3, 313,
si inférieur pour rivaliser, si loin de rivaliser, cf.
Sil. 5, 76
||
[n. pris substt] : non minus inerat auctoritatis quamCic. Sulla 12,
il n'y avait pas dedans moins d'autorité que ; uno signo ut sit minus quam ex lege oportet
Cic. Verr. 2, 1, 117,
en sorte qu'il y ait un sceau de moins que la loi ne l'exige, cf.
Cic. Verr. 2, 1, 150 ;
minoris vendere
Cic. Off. 3, 51,
vendre moins cher ; aliquid minoris ducere
Sall. J. 32, 5,
regarder qqch. comme de moindre valeur.
aliquot annis minor natu
minores
[avec inf. poét.] : tanto certare minor
[n. pris substt] : non minus inerat auctoritatis quam