glōrĭor, ātus sum, ārī (gloria), intr., se glorifier : [avec acc. de pron. n.] idem gloriari, quod Cyrus Cic. CM 32, se glorifier de la même chose que Cyrus, cf. CM 82 ; Liv. 1, 12, 9 ; aliqua re Cic. Or. 169 ; de aliqua re Cic. Vat. 29 ; in aliqua re Cic. Off. 2, 59, se glorifier de qqch. ; omnes provincias se peragrasse gloriari Cic. de Or. 2, 258, se vanter d'avoir parcouru toutes les provinces, cf. Cic. Nat. 1, 72 ; [double constr.] non ego secundis rebus nostris gloriabor, duos consules... ab nobis sub jugum missos Liv. 23, 42, 7, je ne me prévaudrai pas de nos succès [passés], deux consuls envoyés par nous sous le joug ||
[avec quod] Cic. Tusc. 5, 40 ||
[avec gén., décad.] Apul. M. 7, 16 ; [av. interr. ind.] Suet. Cal. 38, 3 ; [abst] licet mihi apud te gloriari Cic. Off. 1, 78, je peux me glorifier auprès de toi ||
beata vita glorianda est Cic. Tusc. 5, 50, la vie heureuse mérite qu'on la glorifie, est digne d'éloges, cf. Tusc. 5, 49.