frīgĕō, ēs, ēre, intr., avoir froid, être froid (glacé) :
Ter. Phorm. 994 ;
Virg. En. 6, 219
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[fig.] être engourdi, sans vie : [pers.]Cic. Fam. 7, 10, 2 ;
Q. 3, 8, 3 ;
Cæl. d. Cic. Fam. 8, 6, 5
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[choses] cum omnia consilia frigerentCic. Verr. 2, 2, 60,
comme toutes les mesures [des adversaires] se traînaient languissamment (n'aboutissaient pas) ||
avoir un accueil froid (sans chaleur), n'avoir pas d'action sur la foule, ne pas rencontrer la faveur : friget patronus AntoniusCic. Phil. 6, 15,
on ne tient plus à avoir Antoine pour patron ; frigere ad populum
Cic. Br. 187, [en parl. d'un joueur de flûte] n'être pas goûté du public, cf. Fam. 11, 4, 1 ;
Att. 1, 14, 1.
[fig.] être engourdi, sans vie : [pers.]
[choses] cum omnia consilia frigerent
avoir un accueil froid (sans chaleur), n'avoir pas d'action sur la foule, ne pas rencontrer la faveur : friget patronus Antonius