bĕnĕ făcĭō (bĕnĕfăcĭō), intr.,
¶ 1 faire du bien, rendre service :
Pl. Bacch. 402 ;
Capt. 941,
etc.;
Sen. Ben. 1, 2, 2, etc. ||
in aliquem aliquid bene facere, rendre un service à qqn :Pl. Amph. 184 ;
Capt. 416
||
alicui bene facere, faire du bien à qqn, l'obliger :Pl. Men. 1021,
etc.;
Liv. 36, 35, 4 [mais pulchrum est bene facere rei publicæ, etiam bene dicere haud absurdum
Sall. C. 3, 1,
s'il est beau de bien agir dans l'intérêt de l'État, bien dire aussi n'est pas malséant] ||
[passif] bonis quod bene fit, haud peritPl. Rud. 939,
le service qu'on rend aux braves gens n'est pas perdu, cf. Capt. 358 ;
Pœn. 1216
¶ 2 tr., décad.
↣ l'orth. en un seul mot est sans doute due à l'infl. de beneficium ; l'ancienne latinité séparait les deux mots.
in aliquem aliquid bene facere, rendre un service à qqn :
alicui bene facere, faire du bien à qqn, l'obliger :
[passif] bonis quod bene fit, haud perit
↣ l'orth. en un seul mot est sans doute due à l'infl. de beneficium ; l'ancienne latinité séparait les deux mots.